En Belgique, les opérateurs se sont principalement limités au partage de l'infrastructure passive malgré le fait que l’IBPT ouvre la voie dans les directives de 2012.
Aujourd’hui, l’IBPT constate, avec les technologies actuelles, que les opérateurs ne sont pas vraiment demandeurs d’un changement des règles réglementaires en faveur de l’utilisation partagée de l’infrastructure, a fortiori du spectre, parallèlement à ce qu’ils font déjà actuellement avec les infrastructures passives.
Cette étude analyse ce à quoi nous pouvons nous attendre à l’avenir.