Il ressort de l’étude que les opérateurs de télécommunications belges continuent de travailler sur la durabilité, mais qu’il est difficile de se faire une idée précise de l’impact de leurs efforts. Ainsi, le secteur continue d’investir dans les énergies renouvelables, l’électrification des flottes de véhicules et les modèles circulaires, mais le rapportage reste fragmenté, les mesures qualitatives ne sont pas suffisamment disponibles et sont donc difficiles à comparer.

Les émissions de CO₂ continuent de diminuer pour la plupart des opérateurs, mais la consommation d’électricité augmente en raison de la poursuite de l’électrification et de la croissance des données. La gestion des déchets présente à nouveau une tendance positive.

 

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